israel attaque a l'huile d'argan
Une société israélienne « Sivan » compte commercialiser de l’huile d’argan et casser le monopole du Maroc dans la production de ce produit. Selon les déclarations de représentants de cette société, des graines d’argan provenant du Maroc ont été clonées et multipliées. Créant ainsi une souche l’Arganier tolérant du climat méditerranée dénommée Argan 100 produisant, selon la même source, dix fois plus de noix que la moyenne d’un arbre au Maroc et plus résistantes aux maladies du sol. 2 500 arganiers ont été plantés dans les régions d’Ashkelon, d’Arava et du Néguev en Israël. Pour le moment la société SIVAN continue à commercialiser de l’huile d’Argan marocaine mais compte vendre l’huile d’Argan israélienne dès que les premiers fruits pourront être récoltés
Source : lavieeco
Source : lavieeco
la chanteuse Nancy Ajram sera présente au festival Mawazin 2012
Après le succès de son concert lors de la 8ème édition du Festival Mawazine Rythmes du Monde, la libanaise Nancy Ajram revient au Maroc cette année pour une soirée mélodieuse le dimanche 20 mai sur la scène Nahda à Rabat.
Mawazine, dont la 11ème édition est prévue du 18 au 26 mai, est devenu une véritable vitrine culturelle du Maroc à l'international, ce que peu d'événements, de par le monde arabe, ont réussi : Plusieurs artistes de renommée mondiale en une semaine et dans un même lieu, ce n’est pas courant et c’est même rare.
Rappelons que l'accès à la scène Nahda oû se produira Nancy Ajram est gratuit, à l’exception d’un espace en devanture de scène qui est réservé à un nombre limité de détenteurs de billets et de cartes qui seront prochainement mis en vente.
Source : lavieeco
Mawazine, dont la 11ème édition est prévue du 18 au 26 mai, est devenu une véritable vitrine culturelle du Maroc à l'international, ce que peu d'événements, de par le monde arabe, ont réussi : Plusieurs artistes de renommée mondiale en une semaine et dans un même lieu, ce n’est pas courant et c’est même rare.
Rappelons que l'accès à la scène Nahda oû se produira Nancy Ajram est gratuit, à l’exception d’un espace en devanture de scène qui est réservé à un nombre limité de détenteurs de billets et de cartes qui seront prochainement mis en vente.
Source : lavieeco
le nouvelle loi qui lutte contre le téléchargement fait le bonheurs a derb ghlef
Apeine quelques jours après l’opération musclée du FBI à l’encontre du site Megaupload, le 20 janvier, plusieurs sites similaires d’hébergement de fichiers (films, musique…) ont fermé… de leur propre chef ! Certains sont même allés jusqu’à désactiver le partage de fichiers et supprimer tous les comptes utilisateurs. Et il y a de quoi puisque les charges qui pèsent contre Kim Schmitz, patron de Megaupload, et six de ses collaborateurs ont de quoi modérer les ardeurs des plus zélés.
Au Maroc, sans atteindre l’ampleur qu’on lui connaît sous d’autres cieux, le téléchargement illégal fait encore des ravages en étant le principal fournisseur du marché informel. Les pertes sont estimées à 615 MDH en 2010 pour le seul marché des logiciels et le piratage représente près de 93% de l’industrie audiovisuelle. La fermeture du site Megaupload n’aura eu comme effet immédiat, pour les pirates en herbe, que de se rabattre sur la métropole marocaine de l’informel, Derb Ghallef, et sur ses petits revendeurs disséminés un peu partout dans les rues. Le temps pour les sites internet de téléchargement de se restructurer et d’effectuer leur migration vers de nouvelles plateformes opérationnelles. Entre-temps, avec les 50 millions d’unités de stockage vierges (CD et DVD) qui sont importées chaque année et écoulées à quelques dizaines de centimes l’unité, musique, films, et autres jeux copiés illégalement seront échangés sous le manteau.
Loin d’être une simple question de rapports de force, la lutte contre le téléchargement illégal passe par la sensibilisation. «Internet a répandu l’idée que la culture pouvait être gratuite puisque immatérielle», explique Nabil Ayouch, président de l’Association marocaine de lutte contre le piratage (AMLP). Une époque révolue ?
Source : Lavieeco
Au Maroc, sans atteindre l’ampleur qu’on lui connaît sous d’autres cieux, le téléchargement illégal fait encore des ravages en étant le principal fournisseur du marché informel. Les pertes sont estimées à 615 MDH en 2010 pour le seul marché des logiciels et le piratage représente près de 93% de l’industrie audiovisuelle. La fermeture du site Megaupload n’aura eu comme effet immédiat, pour les pirates en herbe, que de se rabattre sur la métropole marocaine de l’informel, Derb Ghallef, et sur ses petits revendeurs disséminés un peu partout dans les rues. Le temps pour les sites internet de téléchargement de se restructurer et d’effectuer leur migration vers de nouvelles plateformes opérationnelles. Entre-temps, avec les 50 millions d’unités de stockage vierges (CD et DVD) qui sont importées chaque année et écoulées à quelques dizaines de centimes l’unité, musique, films, et autres jeux copiés illégalement seront échangés sous le manteau.
Loin d’être une simple question de rapports de force, la lutte contre le téléchargement illégal passe par la sensibilisation. «Internet a répandu l’idée que la culture pouvait être gratuite puisque immatérielle», explique Nabil Ayouch, président de l’Association marocaine de lutte contre le piratage (AMLP). Une époque révolue ?
Source : Lavieeco
La Société Lydec a réaliser un chiffre d'affaires de 5.77 milliards de dhs
la société lydec a realiser au cour de l'anneé 2009 5,34 milliards de dirhams et 5,67 milliards en 2010 et 5,77 milliards en 2011, tel est le chiffre d’affaires de la société gestionnaire d'eau, d'électricité et d'assainissement de Casablanca Lydec réalisé ces trois dernières années. En 2011, la progression est de +1,8% et résulte notamment de la hausse des ventes de fluides de l’ordre de +3,7%.
En termes de coûts, Lydec a enregistré une hausse des charges d’exploitation de l’ordre de 4,8%. Une hausse expliquée par les revalorisations salariales du personnel statutaire décidées par les autorités gouvernementales mais aussi par la hausse des investissements (565 MDH en 2011 contre 540 en 2010).
Le résultat net de l’entreprise s’établit à 231 millions de dirhams en 2011 contre 256,3 en 2010 et 221,3 en 2009.
Source : Lavieeco
En termes de coûts, Lydec a enregistré une hausse des charges d’exploitation de l’ordre de 4,8%. Une hausse expliquée par les revalorisations salariales du personnel statutaire décidées par les autorités gouvernementales mais aussi par la hausse des investissements (565 MDH en 2011 contre 540 en 2010).
Le résultat net de l’entreprise s’établit à 231 millions de dirhams en 2011 contre 256,3 en 2010 et 221,3 en 2009.
Source : Lavieeco